The Bureau
Le bureau des légendes
Au sein de la DGSE (Direction Générale de la Sécurité Extérieure), un département appelé le bureau des légendes (BDL) pilote à distance les agents les plus importants des services de renseignements français, les clandestins. En immersion dans des pays hostiles, leur mission consiste à repérer les personnes ...
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Terminée | Française | 55 minutes |
Drame, Drama, Suspense, Thriller | Canal +, Canal+ | 2015 |
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5.06 - Épisode 6
Episode 6
En haut lieu à la DGSE, le travail de JJA est examiné avec attention. Liz Bernstein s'intéresse notamment à la façon dont il gère Pacemaker qui se trouve en mission au Cambodge. Au Caire, Marie-Jeanne découvre que sa chambre d'hôtel a été truffée de micros. Elle est convaincue que Fouad et son équipe l'écoutent à son insu. De son côté, Pacemaker est surveillé de près par le chef de la sécurité de la cellule du FSB.
Diffusion originale : 20 avril 2020
Diffusion française :
20 avril 2020
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Avis favorable | Déposé le 22 avril 2020 à 12:48 |
Un épisode qui donne la patate !!! La saison est vraiment en mode best-of sur la moitié de ses intrigues : PaceMaker qui va se faire cramer car il est un coeur d'artichaut, Artus le gentil agent pas si idiot, PaceMaker et ses super piratages qui s'illuminent sur un écran géant pour qu'on comprenne bien qu'il se passe quelque chose... Heureusement, on nous présente une nouvelle super-héroïne du quotidien en la personne de Joséphine de Meaux (je l'avais perdue de vue depuis Ducobu !!!) et ses montées de lait, incroyable intrigue qui mériterait un spin-off avec Hippocrate (allez Canal, vous pouvez le faire !!). Heureusement il y a toute la partie JJA que j'ai trouvée fascinante. Pour son rajeunissement numérique, assez saisissant sur la majorité de l'intrigue (choqué de retrouver l'Amalric de Rois et Reines), pour son portrait de JJA et Karlov, pour la fluidité de l'ensemble (les poupées russes, simple et efficace), pour sa symbolique un peu grossière mais réjouissante dans une saison aussi terne (les épluchures de patates <3). Le problème, c'est que cet épisode arrive quand même un peu tard, et qu'on aurait gagné à avoir tous ces éléments bien plus tôt au lieu de perdre du temps avec l'article du Figaro. Mais peu importe, JJA confirme qu'il est vraiment la bouée de sauvetage de cette saison boiteuse. Heureux de revoir Raymond au pieu, j'ai failli m'inquiéter. |
Bordel, l'ouverture de l'épisode... Encore une scène de sexe, complètement débile, avec Raymond qui parle de JJA pendant l'acte sexuel... Mon dieu... Je pense que le but dans l'esprit de Rochant l'idée est de montrer que dans un monde de conventions, de règles et de mensonges, le sexe est le seul momen de vérité. En soi, ce n'est pas bête comme idée et c'est même verbalisé par un agent du KGB. Mais était-ce la peine d'avoir ces scènes à tous les épisodes ?
Pour le reste, l'idée du flashback donne de la consistence à JJA, mais ruine en même temps la crédibilité de la série. Jamais de la vie la DGSE ne recruterait un traitre. Et de deux, et c'est encore pire, psychologiquement, il est beaucoup trop instable. Ca ne tient pas.
Tout de même, j'ai bien aimé la partie en Belgique et j'étais content de revoir Joséphine de Meaux, beaucoup trop rare en fiction.